ans cette nuit sans fin votre route mes amis ne sera que désolation et frayeur, empli de terres désolées et stériles , bordées de cauchemars.
Oooohhh ! que de larmes versées, que de blessures infligées. Oui, votre quête n'en est qu'à son début.
Les contrés que vous allez traverser ne seront que des plaies béantes du mal.
Alliances, amitiés, compassion. Que de mots futiles dans le monde d'Arnia.
Cherchez, voyez et courrez vers votre destin. Point de faiblesses dans vos actes ni dans vos pensées. La sanction sera sans pitié aucune. Gardez vos amis près de vous mais vos ennemis plus encore. Dans ce monde sans âme vos pensées vous trahirons, vos murmures traverseront les forêts de l’infini et iront réléchir dans les oreilles de vos ennemis.

L’unique rescapé de la grande bataille d'Arnia.

Oui chevalier, nous avons échoué en des temps que même vos aïeux n’ont pas connus. Le mal est puissant et perfide, il s’infiltre jusqu'au plus profond de vous, manipule vos sentiments, les chavires du côté obscure pour mieux vous assouvir à sa cause.

Soyez sur vos gardes, pour toujours et à jamais.

Le peuple d’Arnia attend sa délivrance, et sa vengeance.
Que de femmes et d'enfants tués et torturés. Hurlements et massacres gratuits. La lie du mal dans toute sa splendeur.

Prenez garde

Un compagnon vous trahira, ceci est écrit dans le manuscrit de la genèse d’Arnia. Il ne le sait pas encore et pourtant son destin est déjà tout tracé. Méfiez vous de tous et surveillez vos arrières.
Le mal sait déjà que vous êtes en route, il a déploiyé ses hordes de démons et monstres rugissants, surgissants de leurs tanières, assoiffés de sang frais. Il les a réveillé.
Je les vois mes amis , ils se prosternent devant leur maître, et lui jure fidélité. Ils sont là, dégoulinants de haines, le regard livide, êtres dépourvus d'âme.
Ils chantent pour leur seigneur, aiguisant leurs armes, prêt pour le massacre.
la vieillesse en moi se fait sentir et le sommeil éternel m'emporte doucement. Je vous aiderai du mieux que je le pourrai d'où je suis, pour le temps qu'il me reste.

Parsywilly

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